Sous le double scintillement de 1Q84, le temps s’accĂ©lère et les vĂ©ritĂ©s se confondent. La voix du dĂ©tective Ushikawa s’invite, oscillant entre rĂ©vĂ©lation et menace, sur la trace d’AomamĂ© et Tengo. D’un reflet Ă l’autre, dans la clairvoyance hypnotique de ce troisième volet, le passĂ© s’apprĂŞte Ă livrer son chaos au seuil d’un nouveau rĂŞve…
 » Pour traverser les miroirs et aller gamberger dans le Grand Ailleurs, le mot de passe tient en quatre syllabes : Murakami. Ce Japonais volant n’a pas son pareil, en effet, pour distiller les nectars d’une Ĺ“uvre dĂ©licieusement somnambulique, de bout en bout hypnotique. «Â
AndrĂ© Clavel – L’Express
Traduit du japonais
par Hélène Morita