Dans ce cinquième tome, Esther a 14 ans. Elle apprend Ă danser le floss, commence Ă s’intĂ©resser Ă la politique (juste un peu), s’entraĂ®ne Ă dire  » je m’en balek  » en espagnol grâce Ă Nacho son correspondant, a un petit ami nommĂ© Abdelkrim et, Ă©videmment, Ă©coute Angèle.
LA SÉRIE
La sĂ©rie Les Cahiers d’Esther a Ă©tĂ© initiĂ©e par Riad Sattouf en 2015 avec une idĂ©e un peu folle : se faire le porte-voix d’une jeune fille d’aujourd’hui pour assister, annĂ©e après annĂ©e, Ă ses transformations, et montrer l’Ă©volution de notre sociĂ©tĂ© Ă travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie Ă Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses Ă©tats d’âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinĂ©e, prĂ©publiĂ©e dans L’Obs. Les planches correspondantes Ă une annĂ©e scolaire sont rĂ©unies en albums.
Histoires d’enfants pas forcĂ©ment pour les enfants, tĂ©moignage sur notre Ă©poque. Le lecteur embarque pour un voyage quelque peu agitĂ© : suivre, pendant neuf ans, les mĂ©tamorphoses d’une enfant en adulte.
En France, les trois premiers albums ont Ă©tĂ© adaptĂ©s en sĂ©rie animĂ©e sur Canal +. Ă€ voir et Ă revoir sur MyCanal et la chaĂ®ne YouTube des Cahiers d’Esther.
 » Riad Sattouf continue de croquer l’adolescence comme nul autre.  » ELLE
 » Un magnifique ethnographe de la vie ordinaire.  » Libération
 » Le nouveau Petit Nicolas !  » Europe 1